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Pont du Gard

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Pont du Gard
Le pont du Gard
Le pont du Gard
Géographie
Pays France
Région Languedoc-Roussillon
Département Gard
Localité Vers-Pont-du-Gard
Coordonnées géographiques 43° 56′ 50″ N 4° 32′ 08″ E / 43.947222, 4.53555643° 56′ 50″ N 4° 32′ 08″ E / 43.947222, 4.535556
Fonction
Franchit Gardon
Fonction Aqueduc
Caractéristiques techniques
Type Pont à voûtes en plein cintre
Longueur 3e étage : 275 m
2e étage : 242 m
Hauteur 48 m
Matériau(x) Pierre, calcaire molassique, carrière de Vers-Pont-du-Gard
Construction
Construction Ier siècle, entre 40 et 50 après J.-C.
Historique
Protection Logo monument historique Classé MH (1840)
Patrimoine mondial Patrimoine mondial (1985)
Logo des sites naturels français Site classé (2013, Gorges du Gardon, pont du Gard et garrigues nîmoises)

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Pont du Gard
Parcours de l'aqueduc romain de Nîmes.
Le bassin de distribution d’eau de Nîmes ou castellum divisorium.
Courbure du pont.
L'aqueduc, au sommet du pont.

Le pont du Gard est un pont-aqueduc romain à trois niveaux, situé à Vers-Pont-du-Gard entre Uzès et Nîmes, dans le département du Gard (France). Il enjambe le Gardon, ou Gard. Probablement bâti dans la première moitié du Ier siècle, il assurait la continuité de l'aqueduc romain qui conduisait l’eau d’Uzès à Nîmes. D'après les dernières recherches, il aurait cessé d'être utilisé au début du VIe siècle.

Au Moyen Âge, les piles du second étage furent échancrées et l'ouvrage fut utilisé comme pont routier. L'architecture exceptionnelle du pont du Gard attira l'attention dès le XVIe siècle, qui dès lors bénéficia de restaurations régulières destinées à préserver son intégrité. Un pont routier lui fut accolé en 1743-1747. Plus haut pont-aqueduc connu du monde romain, il fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[1] et a été inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en décembre 1985[2].

L'aqueduc romain de Nîmes

Le pont du Gard est la partie monumentale d'un aqueduc de plus de 52 km de longueur (52 702 m), qui apportait l'eau de la Fontaine d'Eure, située au pied d'Uzès, jusqu'à la ville romaine de Nemausus, aujourd'hui Nîmes[3], alors à son apogée. Les eaux de la source proviennent en partie de la rivière d'Alzon, qui passe par les environs d'Uzès, et des eaux récoltées du mont Bouquet, situé plus près d'Alès. L'aqueduc proprement dit est un chef-d'œuvre d'ingénierie, témoignage de l'extraordinaire maîtrise des constructeurs anciens : le dénivelé entre les points de départ et d'arrivée n'est que de 12,6 m, la pente moyenne générale étant de 24,8 cm par km. À cause du relief, l'aqueduc serpente à travers les petites montagnes et vallées des garrigues d'Uzès et de Nîmes[4].

L'aqueduc de Nîmes a sans doute été construit au Ier siècle de notre ère, comme en atteste la céramique. Des tunnels datant de l'époque d'Auguste ont dû être contournés, ce qui montre que la construction de l'aqueduc est postérieure, et les monnaies retrouvées dans les réservoirs de la ville de Nîmes, où étaient recueillies les eaux de l'aqueduc, ne sont pas antérieures au règne de l'empereur Claude (41-54). On pense donc que la construction de l'aqueduc dont fait partie le pont du Gard doit se situer entre les années 40 et 50[5]. On estime à mille le nombre d'ouvriers, travaillant sur cinq années intenses.

Son débit moyen a été estimé à 40 000 mètres cubes d'eau par jour[2], soit 400 litres d'eau par seconde. L'eau courante mettait une journée entière pour parvenir par gravité de son point de captage jusqu'à l'ouvrage de répartition, sorte de château d'eau appelé castellum divisorium, encore visible rue de la Lampèze à Nîmes. Nemausus possédait un certain nombre de puits, ainsi qu'une source proche : la construction de l'aqueduc ne relevait donc pas d'une nécessité vitale, mais plutôt d'un ouvrage de prestige, destiné à l'alimentation des thermes, bains, jardins et autres fontaines de la ville. De fait le pont symbolise le génie scientifique romain. Le défi était d'autant plus grand que le pont devait résister aux crues redoutables du Gardon.

Dès le IVe siècle cependant, l'entretien commença à faire défaut, tandis que des dépôts calcaires occupaient les deux tiers, parfois les trois quarts, de la conduite. On estime à présent qu'il avait cessé de fonctionner au commencement du VIe siècle, à l'époque où, à la suite de la bataille de Vouillé, les Francs prirent le contrôle de la région d'Uzès, tandis que les Wisigoths se maintenaient à Nîmes : on a retrouvé des céramiques contemporaines dans les couches d'abandon, et l'aqueduc servit alors de carrière de pierre (des concrétions détachées des parois du canal ont été utilisées par les riverains pour leurs propres constructions et pour couvrir des sarcophages du cimetière de Saint-Baudile à Nîmes)[6].

L'architecture du pont du Gard

Description

Construit sur trois étages avec des pierres extraites sur les lieux mêmes dans les carrières romaines environnantes, le sommet du pont domine le Gard[Note 1], en basses eaux, à 48,77 m de hauteur, et, sur sa plus grande longueur, l'ouvrage mesure actuellement 275 m. Jadis il mesurait 360 m de long.

  • Étage inférieur : 6 arches, 142,35 m de longueur, 6,36 m de largeur, 21,87 m de hauteur.
  • Étage moyen : 11 arches, 242,55 m de longueur, 4,56 m de largeur, 19,50 m de hauteur.
  • Étage supérieur : 35 arches, 275 m de long, 3,06 m de largeur, 7,40 m de hauteur. Cet étage a perdu 12 arches, et mesurait initialement 360 m ; il était précédé d'une culée de 130 m de long ; à l'origine de cette culée a été découvert en 1988 un ouvrage de régulation[7]. Les arches avaient 16 pieds romains d'ouverture (4,75 m), tandis que les piles avaient environ 10 pieds sur 10 (3 m).
  • Canal :1,80 m de hauteur, 1,20 m de largeur, pente de 0,4 %.

L'observation de la face interne des piliers en grand appareil du deuxième étage du pont révèle le travail des bâtisseurs romains : techniques de taille des blocs (traces de coup d'escoude) et techniques de construction (blocs posés en carreau et boutisse et blocs saillants pour la mise en place des échafaudages). En s'approchant, on constate la précision des assemblages : chaque bloc était lié aux autres par ciselage des joints sur place.

De nombreuses traces et gravures parsèment la surface du pont. Ce sont des marques d'assemblage indiquant la place des claveaux de voûtes, par exemple, « FRS II » (frons sinistra II, c'est-à-dire « face gauche 2 ») ou des symboles comme le « phallus », symbole apotropaïque (c'est-à-dire « servant à détourner des influences maléfiques »), ou bien encore des marques diverses laissées par les bâtisseurs de toutes époques pour qui le pont du Gard était l'étape obligée.

Le pont présente une courbure convexe de ses étages supérieurs du côté amont. Cette déformation a longtemps été attribuée à la volonté des constructeurs d'assurer la résistance de l'ouvrage, comme on le ferait pour un barrage-voûte. À la suite de mesures de micro-topographie exécutées en 1989, on l'interprète à présent comme le résultat d'une dilatation diurne sous l'effet de l'ensoleillement, qui provoque un déplacement d'environ 5 mm ; les pierres retrouvent leur place au cours de la nuit. La répétition de ce phénomène au cours des siècles aurait conduit à la forme actuelle du pont[8].

Construction

Le pont a été entièrement construit à sec, c'est-à-dire sans l'aide de mortier, les pierres — dont certaines pèsent six tonnes — étant maintenues par des tenons de chêne. Seule la partie la plus élevée, à la hauteur du canal, est faite de moellons liés au mortier[9]. Le calcaire coquillier est issu de la carrière de l'Estel située à environ 700 m en aval du monument, au bord du Gardon[10]. Ce matériau, connu localement comme « pierre de Vers », présente une texture assez grossière, se prêtant très bien à la taille.

Le cœur de la canalisation (où circulait l'eau) se signale par son système d'étanchéité : un béton romain à base de chaux, badigeonné d'une peinture rougeâtre, à base d'oxyde ferrique, qui évite la dégradation due au calcaire. Les canalisations font environ 1,80 m de haut.

Sur place, les blocs étaient montés grâce à une cage à écureuil dans laquelle les ouvriers prenaient place, apportant la puissance nécessaire au treuil. Un échafaudage complexe fut érigé pour soutenir le pont pendant la construction, dont les faces portent toujours les marques : on distingue un peu partout les appuis d'échafaudages et, sur les piles, les arêtes saillantes qui soutenaient les assemblages de bois semi-circulaires destinés au maintien des voûtes. On suppose que la construction a duré de trois à cinq ans (une quinzaine d'années pour l'ensemble de l'aqueduc de Nîmes), avec 800 à 1 000 ouvriers sur le chantier. On a évalué à 11 000 000 le nombre de blocs de pierre utilisés et à 50 400 tonnes le poids de l'ensemble. Chacune des grandes voûtes est constituée de voûtes indépendantes accolées (quatre à l'étage inférieur, trois au second étage), ce qui donne à l'ensemble la capacité de résister aux légers mouvements et tassements inévitables avec le temps. Cette partition de la voûte en anneaux indépendants ne se rencontre qu'en Narbonnaise, par exemple aux ponts romains de Sommières, Boisseron, Ambrussum, Nages-et-Solorgues.

Partie de la paroi où on peut voir les pierres saillantes servant de points d'appui aux échafaudages

L'aqueduc situé au troisième niveau a un plancher constitué de mortier et de cailloux et des parois en moellons. Sa taille permettait à un homme d'en assurer aisément l'entretien. L'étanchéité est assurée par un mortier de tuileau, de couleur rougeâtre.

Le pont après l'abandon de l'aqueduc

Dégradation

Du Moyen Âge au XVIIIe siècle, le pont a subi des dégradations notables. À une époque inconnue, mais vraisemblablement aux alentours du XIIe siècle, douze arches du troisième étage furent détruites et les pierres récupérées comme matériau de construction[11]. Par la suite, il fut utilisé comme passage pour traverser la rivière : les piles du second niveau furent échancrées afin de laisser plus de place au trafic croissant, mais cela déstabilisa dangereusement l'ensemble de la structure.

Redécouverte et restaurations

Le pont routier accolé au XVIIIe siècle
Gravure de Charles-Louis Clérisseau en 1804, montrant l'état fortement dégradé du pont à cette date

La Renaissance, qui haussa l'Antiquité au rang de modèle absolu, ne manqua pas de s'intéresser au pont du Gard, l'un des plus spectaculaires monuments romains subsistant en France.

Charles IX passa devant le pont en décembre 1564 lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné par la Cour et par ceux qui étaient les Grands du royaume, son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine[12].

Dès 1647, l'évêque de Nîmes alerte les États de Languedoc sur le danger de ruine que présente le pont. Il précise, dans son adresse aux députés, qu'un fonds de 1 500 livres avait déjà été constitué pour les réparations à faire, mais qu'il était bloqué « entre les mains […] de bourgeois de la ville du Saint-Esprit »[13].

Le , Louis XIV et la Cour, alors dans le Midi de la France à l'occasion de la négociation de la paix des Pyrénées, allèrent voir le pont du Gard[14].

En 1696, Nicolas de Lamoignon de Basville, intendant de Languedoc, inquiet pour la stabilité de l'édifice, fit faire un devis pour la réparation par l'abbé Henri de Laurens et Augustin-Charles d'Aviler, architecte de la Province. Les travaux, pris en charge par les États de Languedoc, durèrent jusqu'en 1704 : les échancrures dans les piles furent en partie colmatées et, contournant chaque pile, des passages en encorbellement furent aménagés pour élargir la voie[15].

En 1730, dans le premier tome de l'Histoire générale de Languedoc, dom Claude Devic et dom Joseph Vaissète firent le point des connaissances du moment sur le pont du Gard. En l'absence de textes antiques et à une époque où l'archéologie n'en était qu'à ses premiers balbutiements, la datation était très incertaine : ils rappelaient que Nicolas Bergier dans son Histoire des grands chemins de l'Empire romain (1622)[16] attribuait la construction de l'aqueduc à Agrippa (vers -63 - vers -12) ; ils étaient plutôt d'avis que c'était Hadrien (76-138) qui l'avait fait bâtir. Mais le parcours du canal était connu, et ils relevaient à propos qu'il était destiné à amener l'eau de la Fontaine d'Eure jusqu'à Nîmes près de « la Tour Magne, où étoit le regorgement des eaux & le grand réservoir qui les fournissoit à la ville », à quoi ils ajoutaient avec moins de discernement « & à l'amphithéâtre pour la représentation des naumachies »[17].

En 1743-1747, l'ingénieur Henri Pitot accola aux arches de l'étage inférieur un solide pont routier. Les échancrures furent alors définitivement colmatées. Les États de Languedoc firent poser à cette occasion une plaque de marbre sur une pile du deuxième étage du pont avec l'inscription suivante :

« Aquæductum struxerant Romani pontem addidit Occitania anno MDCCXLV. Cura d. Henr. Pitot e. regia scientiarum academia[Note 2]. »

Elle fut détruite en 1793 par les révolutionnaires[18].

Pont du Gard, photographié en 1851 par Édouard Baldus dans le cadre de la Mission héliographique.
L'extrémité ouest du Pont du Gard en 1891, montrant les escaliers installés par Charles Laisné permettant aux visiteurs d'entrer dans le conduit

Au XIXe siècle, le monument fut à nouveau l'objet de grosses restaurations, d'abord en 1842-1846 par Charles-Auguste Questel où, entre autres, un escalier est créé à l'intérieur de la dernière pile du dernier étage pour accéder au canal, puis de 1855 à 1859, les plus importantes de l'histoire du pont, sous la direction de Jean-Charles Laisné[19].

En 1988 et surtout 2002, le pont du Gard fut touché par de violentes inondations qui endommagèrent gravement les environs, mais ne causèrent aucun dommage à l'édifice. Pourtant lors de cette dernière crue, l'eau monta jusqu'aux trois quarts des arches du niveau inférieur, soit une hauteur inédite d'environ 20 mètres[Note 3].

En 2000, l'État français finança, dans le cadre d'une opération Grand site national, avec l'aide de collectivités locales, de l'UNESCO et de l'Union européenne, un projet d'aménagement du site, confié à l'architecte Jean-Paul Viguier, afin d'assurer la préservation de ce monument exceptionnel, menacé par l'afflux des touristes. Il fut décidé de le rendre accessible uniquement aux piétons et d'améliorer les infrastructures destinées aux visiteurs avec, entre autres, un musée. Les nouveaux bâtiments sont imbriqués dans la roche et sont invisibles depuis le monument, dont ils imitent la couleur. Une attention particulière a été portée au paysage qui, dégradé par le tourisme de masse, a été restauré et mis en valeur par un parcours[20]. Enfin, l'accès à la conduite au sommet de l'aqueduc a été limité à des visites guidées.

Il s'agit de l'un des monuments français les plus visités, avec 1 400 000 touristes en 2011[21]. La gestion du site est désormais assurée par un EPCC (Établissement de coopération culturelle).

Philatélie

  • En 1930, la Poste française émet un timbre de 20 francs chaudron qui est recherché du fait de ses nombreuses variétés[22].
  • En 2003, la Poste française édite un feuillet de 10 timbres dont un timbre à 0,50 euro représente le pont du Gard dans la série Portraits de régions. La France à voir[23].
  • En 2012, la Poste française émet un timbre à 0,77 euro intitulé "Visitez la France", où apparaît le Pont du Gard aux côtés du cirque de Mafate, de la Tour Eiffel, du Mont-Saint-Michel et de la place Stanislas[24].

Dans la fiction

Littérature

Dans Pantagruel (1532) de François Rabelais, le pont du Gard est signalé comme étant l'œuvre du héros éponyme lors de son passage à Montpellier[Note 4].

Notes et références

Notes

  1. Certains affirment qu'à cet endroit, le pont enjambe le Gard et non le Gardon : le, ou plutôt les Gardons sont en effet, selon les hydrologues, réunis en la rivière Gard à proximité du village de Cassagnoles. En aval de ce confluent des Gardons d'Anduze et d'Alès, la rivière doit normalement porter le nom de Gard. C'est une discussion antique qui perpétue la confusion. Les habitants d'Anduze et ceux d'Alès se disputant la propriété de l'original, il s'ensuit une indétermination locale évitant ainsi la frustration des riverains, qui perdure encore aujourd'hui.
  2. « Les Romains avaient construit l'aqueduc, l'Occitanie a ajouté le pont en l'an 1745, sous la direction de Henri Pitot, de l'Académie royale des sciences » ; traduction in J.L. Fiches, Le pont du Gard, 2001, p. 30-31.
  3. 23 à 24 mètres au niveau du pont médiéval Saint-Nicolas situé plus en amont et totalement submergé par les eaux.
  4. Au chapitre V intitulé « Des faitz du noble Pantagruel en son jeune eage » : « Et au chemin fist le pont du Guard en moins de troys heures : qui toutesfois semble œuvre plus divine que humaine. »

Références

  1. « Notice no PA00103291 », base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. a et b Patrimoine mondial, monuments et sites français, Revue des Monuments historiques, numéro 182, juillet-août 1992, p. 54-55.
  3. Pierre Gros, La France gallo-romaine, 1991, Nathan, (ISBN 2092843761), p. 102
  4. G. Fabre, J.-L. Fiches, J.-L. Paillet, Le pont du Gard, ..., 1993, p. 19.
  5. « Nîmes et son aqueduc », Le Pont du Gard et l'aqueduc romain de Nîmes - Guide pratique complet de visite (consulté le 9 décembre 2007).
  6. G. Fabre, J.-L. Fiches, J.-L. Paillet, Le pont du Gard, ..., 1993, p. 26 ; J.L. Fiches, Le pont du Gard, 2001, p. 27 ; Philippe Wolff (s. dir.), Histoire du Languedoc, Toulouse, Privat, coll. « Histoire des Provinces »,‎ (ISBN 2-7089-1705-6), p. 111.
  7. G. Fabre, J.-L. Fiches, J.-L. Paillet, Le pont du Gard, ..., 1993, p. 22 ; J.L. Fiches, Le pont du Gard, 2001, p. 59.
  8. J.L. Fiches, Le pont du Gard, 2001, p. 57.
  9. J.L. Fiches, Le pont du Gard, 2001, p. 20.
  10. Jean-Claude Bessac et Mireille Vaca-Goutoulli, « La carrière romaine de l'Estel près du pont du Gard », Gallia, CNRS, no 59,‎ , p. 11-28 (ISBN 2-271-06063-X) ; Résumé de l'article.
  11. J.L. Fiches, Le pont du Gard, 2001, p. 28.
  12. Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Paris, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 2-7242-0785-8), p. 254.
  13. Claude Devic, Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, vol. XIII (1643-1789), Toulouse, Privat,‎ 1877 (réimp. 2005) (ISBN 2-84575-174-5), p. 264 ; procès-verbal des États, séance du 26 avril 1647.
  14. Claude Devic, Joseph Vaissète, Histoire Générale de Languedoc, XIII, p. 381.
  15. J.L. Fiches, Le pont du Gard, 2001, p. 30 ; Claude Devic, Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, vol. I (Jusqu'en 877), Toulouse, Privat,‎ 1872 (réimp. 2003) (ISBN 2-84575-161-3), p. 309.
  16. Claude Devic, Joseph Vaissète, Histoire Générale de Languedoc, I, p. 265.
  17. Claude Devic, Joseph Vaissète, Histoire Générale de Languedoc, I, p. 308-309.
  18. J.L. Fiches, Le pont du Gard, 2001, p. 30-31.
  19. J.L. Fiches, Le pont du Gard, 2001, p. 39-41.
  20. Michel Brodovitch, Rapport de mission. Projet d'aménagement et de mise en valeur des abords et du site du pont du Gard, Ministère de l'Équipement, des Transports et du Logement, La Défense, 2002.
  21. Site du Conseil Général du Gard
  22. n° 262, Catalogue Yvert et Tellier, Tome 1
  23. Catalogue Yvert et Tellier, Tome 1
  24. « Timbre : 2012 VISITEZ LA France »

Voir aussi

Bibliographie

  • Dominique Darde, Nîmes antique, Paris, Éditions du Patrimoine, coll. « Guides archéologiques de la France »,‎ (ISBN 2-85822-797-7)
  • Jean-Luc Fiches, Le pont du Gard, Paris, Éditions du Patrimoine, coll. « Itinéraires »,‎ (ISBN 2-85822-610-5)
  • Guilhem Fabre, Jean-Luc Fiches et Jean-Louis Paillet, « Le pont du Gard, un monument à redécouvrir », Archéologia, numéro 287, février 1993, p. 16-27.
  • Guilhem Fabre, Jean-Luc Fiches et Jean-Louis Paillet, « Vie et mort de l'aqueduc de Nîmes », Pour la Science, numéro 322, août 2004, p. 52-59.
  • Claude Larnac et François Garrigue, L'aqueduc du pont du Gard- Huit itinéraires de découverte d'Uzès à Nîmes, Presses du Languedoc
  • Claude Larnac, Racontez-moi le pont du Gard, Actes sud, 2010
  • (en) Claude Larnac et François Garrigue (trad. Helen Green), The pont du Gard Aqueduct- Eight Faschining Walks from Uzès to Nîmes, Montpellier : NPL, 2007
  • Claude Larnac, «  Les limites du système oeil-chorobate pour l'implantation de l'aqueduc de Nîmes » in Actes du colloque international "Autour de la Dioptre d'héron d'Alexandrie", Communication de l'université de Saint-Etienne, 2000.
  • Jean-Louis Paillet, « Réflexions sur la construction du Pont du Gard », Gallia, t. 62,‎ , p. 49-68 (lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes

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