Thiais

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Thiais
L'église Saint-Leu-Saint-Gilles,inscrite aux monuments historiques.
L'église Saint-Leu-Saint-Gilles,
inscrite aux monuments historiques.
Blason de Thiais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement L'Haÿ-les-Roses
Canton Thiais
(bureau centralisateur)
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
Maire
Mandat
Richard Dell'Agnola
2014-2020
Code postal 94320
Code commune 94073
Démographie
Gentilé Thiaisiens
Population
municipale
29 280 hab. (2013)
Densité 4 554 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 54″ Nord, 2° 23′ 32″ Est
Altitude Min. 41 m – Max. 96 m
Superficie 6,43 km2
Localisation

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Liens
Site web ville-thiais.fr

Thiais est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, arrondissement de L'Haÿ-les-Roses, en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Thiaisiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation de Thiais dans le Val-de-Marne

Localisation[modifier | modifier le code]

Vue aérienne de Thiais (Paris au fond)

La commune est située à sept kilomètres au sud-sud-est de Paris, à quatre kilomètres au nord de l'aéroport d'Orly et à cinq kilomètres à l'est d'Antony et de Bourg-la-Reine situées dans le département des Hauts-de-Seine.

Elle est riveraine des communes de Vitry-sur-Seine au nord, Choisy-le-Roi à l'est, Rungis et Chevilly-Larue à l'ouest, Orly et Paray-Vieille-Poste au sud.

La commune de Thiais est constituée en son sud de la partie nord du hameau de Grignon, attesté dès le Moyen Âge[1], dont le reste est sur la commune d'Orly.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Thiais[2]
Chevilly-Larue Vitry-sur-Seine Vitry-sur-Seine
Rungis Thiais[2] Choisy-le-Roi
Paray-Vieille-Poste Orly Orly

Relief, géologie et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune s'étend sur trois milieux géographiques :

  • le plateau francilien dit de Longboyau, entre les vallées de Bièvre et Seine, à l'ouest et au nord, autrefois agricole, maintenant occupé par des activités commerciales et le cimetière parisien, ainsi que le grand ensemble des Grands Champs ;
  • le coteau du versant de la vallée de Seine, implantation première de la paroisse, et dans les années 1980 de zones pavillonnaires dites La Vallée verte et Green Valley ;
  • la vallée alluviale de la Seine, aux sols sablonneux et issus des sédiments du fleuve, où s'est étendue la ville au XXe siècle, et notamment développé les nouveaux quartiers sud et est, dont Grignon (cités des Vergers de Grignon).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville est à la croisée d'axes de communication très importants tels que l'autoroute A86, qui fait office de second périphérique parisien, la N7, qui constitue la limite occidentale de la ville, la RN 305, ainsi que la RN 186. La ville est aussi située à proximité de l'autoroute A6.

La gare du Pont de Rungis - Aéroport d'Orly sur le RER C dessert le Sud-Ouest de la commune ; néanmoins, la majorité des Thiaisiens utilisent la gare de Choisy-le-Roi qui est plus accessible des zones d'habitations, voire la station Villejuif-Louis Aragon sur la Ligne 7 du métro. Ce terminus métropolitain est aussi le principal terminus de la ligne 7 du tramway d'Île-de-France desservant la commune sur trois stations depuis 2013.

Thiais est aussi desservi par le TVM, un bus en site propre dont la voie longe la RN 186 traversant la commune d'est en ouest. La ville est également desservie par plusieurs lignes de bus principalement les lignes 103 et 185 mais aussi les lignes 183, 192, 319, 396 et l'Athis-Cars

Synthèse des transports en commun de Thiais:

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Au VIIIe siècle, l'auteur du pouillé nomme la ville Tiès. Le Supplément de Dubreul donne plus tard Tudaiſe[réf. incomplète]. Le pouillé imprimé en 1626 donne ensuite le nom de Theodoſe, dans celui de 1648 c'est Thiars. En 1692 le Pelletier écrit Thyais[3].

Le nom de Thiais provient de Theodaxium, formation latine forgée sur un anthroponyme d’origine germanique ayant donné le préfixe Theod-, mentionné dans le polyptyque de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, mais datant probablement de l’installation des Francs sur le territoire[Quoi ?][1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Plan de la seigneurie de Thiais, Choisy et Grignon, 1672
Carte de Thiais vers 1780, Atlas de Trudaine
Lithographie d'Ernest Hussenot, 1871, Travaux prussiens entre Choisy-le-Roi et Thiais et Village de Thiais. Décembre 1870

L'implantation humaine apparait au Néolithique. En effet, des fouilles archéologiques permettent de trouver un dépôt de fondeur de l’âge du bronze, constitué de haches à douilles, marteaux, bracelets[4], et des séries de structures datant de l’âge du fer[1].

Dans l'Antiquité romaine, la présence humaine est encore attestée par des structures et des monnaies[1].

À partir du Ve siècle, le village est rattaché à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Ce village était mentionné au IXe siècle dans le polyptyque d'Irminon sous le nom de Theodaxio[5]. Le monastère de St Germain des Prés y possédait 143 arpents de vigne et en 1248, affranchit les serfs à condition de payer 1 200 livres.

Ce n'est qu'au XIIIe siècle qu'elle devient indépendante[1] et qu'on la dote d'une église. Les familles en place acquièrent des exploitations individuelles. En 1225, la paroisse de Choisy est créée[6].

La seigneurie de Thiais est alors dénommée seigneurie de Thiais, Choisy et Grignon, regroupant les trois paroisses[7]. Elle est possession de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés.

En 1652, le village est incendié pendant la guerre de la Fronde[6].

En décembre 1764, le roi Louis XV rachète la seigneurie à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, puis procède au démembrement de la seigneurie, pour créer la seigneurie de Choisy rattachée à son château[8]. La frontière entre Thiais et Choisy est tracée suivant le chemin de Paris à Choisy (route nationale 305 actuelle), puis sur l'avenue de Villeneuve (actuelle avenue de Lattre de Tassigny) pour inclure des potagers[8]. La seigneurie est alors qualifiée de « Thiais et Grignon ».

En conséquence, en 1764 le reste de la seigneurie de Thiais est achetée par François de Paule Lefèvre d'Ormesson au roi[6]. Ses armes inspirent l'actuel blason de la ville.

Après 1815, Thiais accueille de nombreuses résidences secondaires de notables parisiens, tels l'architecte Jean Nicolas Louis Durand, qui s'y construit trois maisons en 1811, 1820, 1825.

Durant le siège de Paris de 1870 Thiais fut le théâtre de violents combats les 29 et 30 novembre 1870. Les Prussiens réalisèrent des ouvrages légers de défense. Un monument du à Raoul Dufresne en 1891 commémore ces affrontements[9].

En 1929 est créé le cimetière parisien de Thiais.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Liste des maires de Thiais.
Liste des maires successifs depuis la Libération de la France
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1944 Edmond Desboeuf    
1945 1959 Émile Zimmermann PCF  
1959 1961 Georges Halgoult    
1961 1965 Albert Lucien Henri Alfred Glardon    
1965 1971 André Bénard Baron    
1971 1977 Noël Marcel Hivernaud    
1977 1983 Jean René Roger Gaudaire    
1983 en cours
(au 12 mai 2016)
Richard Dell'Agnola RPR
puis UMP
puis LR
Fonctionnaire

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2013, la commune comptait 29 280 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[Note 1],[Note 2].

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 028 653 760 620 1 032 1 086 1 172 1 140 1 099
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 155 1 268 1 462 1 364 1 760 2 120 2 591 2 616 2 771
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 018 3 477 4 036 4 469 5 787 7 034 8 246 8 350 10 026
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2011
15 116 22 481 27 298 26 637 27 515 28 232 29 315 29 616 29 229
2013 - - - - - - - -
29 280 - - - - - - - -
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2004[11].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La ville possède un lycée polyvalent (Guillaume Apollinaire (en)), trois collèges (Albert Camus, Paul Klee et Paul Valéry) ainsi que plusieurs écoles primaires.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Tous les ans au mois de septembre depuis 1977 : Fête du jardinier amateur réunissant les passionnés de jardins.

Santé[modifier | modifier le code]

La ville de Thiais possède un hôpital privé nommé Hôpital privé de Thiais.

Il propose les services de :

  • Chirurgie
  • Médecine
  • Soins de suite
  • Cancérologie
  • Kinésithérapie
  • Hémodialyse
  • Scanner
  • Radiothérapie.

L'hôpital se situe au 112, avenue du Général de Gaulle. Il y a quelques années celui-ci s’appelait encore Clinique Du Sud.

Sports[modifier | modifier le code]

Le palais omnisports de Thiais a été réalisé en 1994. Il accueille chaque année de nombreuses manifestations (comme "les Internationaux de gymnastique rythmique", unique étape française du circuit mondial du Grand Prix), et propose de découvrir différentes disciplines. Elle comprend [12]:

  • une salle centrale omnisports;
  • un dojo Marc-Alexandre;
  • une salle de gymnastique rythmique;
  • une salle de tennis de table;
  • une salle polyvalente;
  • une salle de boxe;
  • une salle de musculation;
  • une salle de gymnastique et de danse;
  • une salle de réunion et de cours;
  • un club house.

En 2011, la ville est candidate pour la construction du stade de la Fédération française de rugby à XV avec la collaboration des villes d'Orly, Rungis et Chevilly-Larue[13].

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Le centre commercial Belle Épine

Le centre commercial régional de la Belle Épine et celui de Thiais-Village forment l'un des grands pôles économiques du département, avec le Marché international de Rungis, la zone commerciale et d'entrepôts Senia et l'aéroport d'Orly.

L'activité agricole autrefois majeure a disparu dans les années 1980 avec la fermeture de la dernière ferme de Grignon et des serres maraîchères.

L'activité industrielle a longtemps été dominée par l'usine Ricard, aujourd'hui fermée.

Dans les deux cas, des activités tertiaires ont remplacé ces activités.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

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La fontaine-lavoir
  • L'église Saint-Leu-Saint-Gilles, datant du XIIe siècle pour les parties les plus anciennes, et sinon du XVe siècle, est classée monument historique.
  • L'avenue de Versailles (ancienne route nationale 186) reliant le château de Choisy à celui de Versailles, présentait un alignement végétal et une perspective du XVIIIe siècle inscrites à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.
  • pavillon Premier Empire, 49 rue René-Panhard[14].
  • maisons d'architecte de Jean Nicolas Louis Durand, 39 rue Maurepas (1811) et maison de campagne, 49 avenue René-Panhard (1825), dite pavillon Monge ou château Laplace (aujourd'hui maison de retraite)[15], inscrit à l'Inventaire en 1929.
  • couvent Saint-Cœur-de-Marie de sœurs de la congrégation de Saint-Joseph de Cluny, bâti au XIXe siècle à l'emplacement du château de Thiais[16].
  • l'ancienne mairie, élevée en 1884 par Thomas, place du Général-Leclerc, comprend un ensemble de peintures murales (inscrites aux Monuments historiques en 1987) dues à Pierre Vauthier (1904) et Wielhorski (1913)[17].
  • Maison du manufacturier Gilardoni (1896), 9 boulevard de Stalingrad, commandée à Léon Bonnenfant par l'industriel Xavier Gilardoni, propriétaire de la Tuilerie de Choisy-le-Roi, inscrite aux Monuments historiques en 2004[18].
  • la salle des fêtes dite « René-Panhard », élevée en 1907 par Paul Langlois, architecte communal[19].
  • Monastère de l'Annonciade, accueille depuis 1926 une communauté de sœurs de l'Annonciade.
  • Maison de maçon, élevée par Auguste Cossettini en 1928 avec des sculptures de Scandolo, au 128 avenue de Versailles.
  • Le cimetière parisien de Thiais datant de 1929 occupe 103 hectares du territoire de la commune. Il a comme particularité d'accueillir autrefois les sépultures des condamnés à mort, et aujourd'hui des anonymes dans un carré réservé.
  • Jardins ouvriers, quartier de Grignon
  • La fontaine-lavoir au 8 rue Robert-Laporte

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Thiais est le lieu de naissance de :

Personnalités liées à Thiais :

  • L'écrivain Jean-François Marmontel possédait une résidence à Thiais[20]. La ville a donné son nom à la rue dans laquelle se trouve sa maison au n°19, devenue aujourd'hui un établissement d'enseignement privé : Institution du Hameau de Grignon.

Thiais est le lieu où est mort ou enterré :

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Armes de Thiais

Les armes du Thiais se blasonnent ainsi : D'azur à trois lis de jardin d'argent tigés et feuillés de sinople.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
  2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a, b, c, d et e « Notice archéologique de Thiais », conseil général du Val-de-Marne,‎ (consulté le 17 février 2010)
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
  3. Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, volume 12, Jean Lebeuf
  4. « Divers fragment de âge du bronze », sur Réunion des musées nationaux
  5. Polyptyque de l’abbé Irminon de Saint-Germain-des-Prés, ou dénombrement des manses, des serfs et des revenus de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés sous le règne de Charlemagne, Paris, Benjamin Guérard, (lire en ligne)
  6. a, b et c « Inventaire général du patrimoine culturel de Thiais », sur culture.gouv.fr,‎ (consulté le 27 août 2011)
  7. Louis XV, Lettres patentes du Roi, portant confirmation du contrat de vente fait au profit de S. M. de la totalité de la terre et seigneurie de Thiais (lire en ligne), p. 1
  8. a et b Louis XV, Lettres patentes du Roi, portant confirmation du contrat de vente fait au profit de S. M. de la totalité de la terre et seigneurie de Thiais (lire en ligne), p. 2
  9. « Monument aux morts de la guerre de 1870 »,‎ (consulté le 27 août 2011)
  10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  11. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2008, 2011, 2013.
  12. « Palais omnisports de Thiais », sur tourisme-valdemarne.com,‎ (consulté le 20 juillet 2011)
  13. http://www.thiais-orly-rugby.fr/
  14. Médiathèque de l'architecture et du patrimoine 1996/025/0988
  15. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/mersri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=IA00082298
  16. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/mersri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=IA00082276
  17. http://www.culture.gouv.fr/documentation/memoire/HTML/IVR11/IM94000568/index.htm
  18. « Notice no PA94000018 », base Mérimée, ministère français de la Culture
  19. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/mersri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=IA00082282
  20. Archives municipales et Jean-François Mamontel Mémoires Introduction et note de Guicciardi et Thierrat, note 5 p. 881, 1999.
  21. A. C. Cornède Miramont, Biographie de Rouget Delisle, auteur de la Marseillaise, 1842, Gallica, BNF.
  22. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/mersri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=IA00082297
  23. a et b « Lucie Décosse et Larbi Benboudaoud s’engagent pour faire gagner Thiais-Orly Rugby », sur rungis.fr,‎ (consulté le 5 mars 2013)
  24. « Marcel Dadi - les dernières confidences », sur marceldadi.com